• Longtemps, bien longtemps à duré la mefiance,

    Du clairon qui sone, en transe sans son,

    Ou sans qu'on s'y attende et denué de sens,

    Assene de coups nos esprits vagabonds.



    Puis il vaint un temps, l'on ne sait trop pourquoi,

    Ou l'on ne vit plus,ces intimes douleurs,

    Qui nous resonnaient,en fureur autrefois,

    Et laissent en nos coeurs une douce terreur.



    Apres l'Hivers violent qui nous usait le corp

    Nous revaint un printemps en tendre reconfort.

    L'on cru qu'il durerait qu'on aurait eu bien tort,



    Car arriva l'Eté qui nous mis à genoux

    Et sous les coups brulants de son soleil soul

    Mis en folie une âme tendue sous les coups.



    ecrit le 25mars 2005


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  • Poupée de son

    Ou de chiffon,

    Poupée cassée

    Poupée bléssée;



    Elle pleure l'enfant,

    Elle grince des dents,

    La Haine la tient

    NON!...c'est la fin...



    La rage du monde

    En une seconde,

    Prend l'Innocence,

    Kidnappe l'enfance...



    Voila comment

    En un instant,

    Pour un plaisir

    On fait Mourir.


    ecrit a montsouris le 18octobre 2004


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  • voila...des nouveaux et des anciens, même tres anciens....

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  • comme dans un conte de fée,

    il lui a pris la main,

    et leurs corps enlassés,

    sans penser a demain,


    dans la tendre penombre

    d'une magique soirée,

    sans se soucier du monde

    se sont mis a tourner.


    tous deux vetus de noir

    comme ce ciel de minuit

    ou enfin pour un soir

    ils se sont endormis


    dans les bras l'un de l'autre

    moment tant attendu

    ou rien n'existait d'autre

    que leurs deux beaux corps nus.


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  • Dans une rue mal eclairee,

    Deambule de ca de la

    Un pauvre clown oublié

    Qui ne sait pas ou il va.



    Un clown triste en noir et blanc ;

    Petit clown perdu en dedant,

    Et il continue son chemin

    Sans penser au lendemain...



    Les feuilles mortes volent et tournent

    autour de ce clown ridicule;

    les feuilles mortes volent et tournent

    autour du clown de l'infortune.



    Une goutte, et puis deux, et puis trois;

    Et tout le maquillage s'en va,

    Il reste tout nu sous la pluie

    Et puis il pleur et puis il rit.



    Un pauvre clown ridicule

    Qui deambule dans la penubre,

    Et il grelotte sous ses tulles

    Il rit il pleur et puis il tombe.


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